Parce que dans la chevalerie d'Athéna, certains passent pour des bon samaritain et d'autres, pour de cruels personnages. Il est peut-être temps de mettre à l’œuvre un sujet sur le pragmatisme et l'idéalisme. Il existe au moins deux cas flagrants opposant ces deux cas de figure dans saint seiya, l'un avec Camus du Verseau qui est des plus pragmatiques concernant son élève Hyoga ( Idéaliste ), lui reprochant sans cesse de se laisser emporter par ses émotions. Camus en vient même à opter pour une position vis à vis du Pope assez ambiguë lors de la bataille du Sanctuaire. En effet, on dirait que tous ces affrontements et leurs enjeux lui importent peu, et que seul l'enseignement qu'il souhaite dispenser à Hyōga pour parfaire sa formation compte à ses yeux, ce qui se confirme lorsqu'on le voit laisser passer Seiya et Shun à travers la Maison du Verseau, sans même se soucier d'eux. Bref, il existe un autre cas de figure qui est peut-être plus interessant, celui de la rencontre de Masque de mort avec Dohko de la Balance. Deathmask prône la loi du plus fort, et fait remarquer qu'au final, l'histoire est écrite par les gagnants, et que les actions du Pope seront donc vues comme justes dans le futur. Dohko se fiche de lui et rétorque que le véritable bien et la justice finissent toujours par prévaloir. D'après vous qui a vraiment raison d'un point de vue "réaliste" (dans notre monde).